Où j'ai injecté de la joie, de l'optimiste et des bonnes raisons de lutter en cette semaine de 8 mars, inspirée par la brillante invitée de Folie Douce cette semaine.
Elle parle à juste titre de la non prise en compte dans la recherche des traumatismes dus aux violences sexistes et sexuelles. Ce n'est pas avec les coups de tronçonneuse à la recherche infligés par l'administration Trump II que ça va s'arranger ! Les sujets relatifs aux minorités, au genre, au racisme sont tout bonnement rayés des registres. Et c'est toute la science mondiale qui va en ressentir les secousses. Pour réagir à ces attaques sans précédents, rdv demain 7 mars partout en France : standupforscience.fr #Standupforscience
FYI: Caroline Criado-Pérez est une ancienne TERF publiquement qui a effacé ses pires propos TERF sur les réseaux sociaux. Elle ne s’en revendique plus mais traîne encore dans les réseaux TERF.
Et oui, malgré cela, j’ai lu et appris bcp de choses dans son livre super hétéronormatif “Invisible Women” et pourtant son écriture exclue toustes celleux qui ne rentrent pas dans les cases binaires et c’était donc pour moi (et j’imagine d’autres) une lecture assez éprouvante.
Merci de m’avoir signalé la mobilisation 🫶
Elle parle à juste titre de la non prise en compte dans la recherche des traumatismes dus aux violences sexistes et sexuelles. Ce n'est pas avec les coups de tronçonneuse à la recherche infligés par l'administration Trump II que ça va s'arranger ! Les sujets relatifs aux minorités, au genre, au racisme sont tout bonnement rayés des registres. Et c'est toute la science mondiale qui va en ressentir les secousses. Pour réagir à ces attaques sans précédents, rdv demain 7 mars partout en France : standupforscience.fr #Standupforscience
FYI: Caroline Criado-Pérez est une ancienne TERF publiquement qui a effacé ses pires propos TERF sur les réseaux sociaux. Elle ne s’en revendique plus mais traîne encore dans les réseaux TERF.
Et oui, malgré cela, j’ai lu et appris bcp de choses dans son livre super hétéronormatif “Invisible Women” et pourtant son écriture exclue toustes celleux qui ne rentrent pas dans les cases binaires et c’était donc pour moi (et j’imagine d’autres) une lecture assez éprouvante.